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Malgré la désynchronisation des horloges entre référentiels en mouvement relatif, l'espace et l'écoulement du temps doivent être considérés comme absolus.

C'est l'énergie totale (E = m c2) , et non  la masse au repos, qui est invariante dans un  changement de référentiel.

C'est le changement d'énergie des horloges atomiques qui explique leur retard lorsqu'on leur donne une vitesse.

La gravitation modifie la masse au repos. Les nouvelles lois proposées expliquent les résultats des expériences de base ayant permis de tester la théorie de la relativité générale.

Le  champ gravitationnel peut être considéré comme une distribution d'énergie dans l'espace entier. L'interaction gravitationnelle consiste en un échange d'énergie entre les sources gravitationnelles et le champ global créé par ces sources. 

Le modèle de champ proposé explique la loi fondamentale de la dynamique et l'onde pilote imaginée par Louis de Broglie.

La démarche adoptée pour le champ gravitationnel peut être transposée au champ électrostatique.

En outre, le champ électrostatique

peut être considéré comme induit par l'apparition du champ gravitationnel  du proton et de l'électron lors de la désintégration d'un neutron. 

 

Ce que je propose

 

26 janvier 2024

La nouvelle note consacrée au champ électrostatique et à sa liaison avec le champ gravitationnel a été mise en ligne.

Etant retraité, je dispose de temps libre, ce qui est propice à l’imagination. Depuis 2017, je me suis mis à repenser à une théorie qui ne m’avait jamais convaincu : la relativité restreinte.

J’ai acquis la certitude que la dilatation du temps entre référentiels galiléens ne constituait pas un simple paradoxe, mais une véritable contradiction. Cela m’a conduit à imaginer une nouvelle approche de la relativité évitant la déformation réelle de l’espace et du temps.

Gros problème au premier abord : cette approche oblige à renoncer à l’invariance de la masse par changement de référentiel et à lui substituer l’invariance de l’énergie totale einsteinienne (qui intègre l’énergie cinétique). L’une des conséquences est qu’une horloge atomique au repos et une horloge atomique en mouvement (dont les atomes de césium ont une énergie totale plus grande) ne battent pas au même rythme !

J’ai tout de même décidé de creuser ce choix et j’ai vite constaté qu’il s’avérait prometteur pour traiter la question de la gravitation universelle : on peut considérer que, si dans un champ gravitationnel les horloges retardent lorsqu’elles se rapprochent de la source, c’est parce que leur énergie au repos augmente.

L’hypothèse que la gravitation a un effet sur la masse au repos m’a conduit à formuler des lois n’impliquant  pas de déformation de l’espace et du temps, mais différentes des lois newtoniennes. Avec les nouvelles lois, on explique sans difficulté les résultats des expériences de base de la relativité générale : décalage du périhélie de Mercure, déviation des rayons lumineux au voisinage du soleil, décalage spectral gravitationnel (expérience de Pound et Rebka), effet Shapiro. 

Franchissant un pas supplémentaire, j’ai imaginé une structure simple du champ gravitationnel (permettant de retrouver le rayon de Schwarzschild) qui conduit à établir une liaison entre variation du champ et variation de vitesse du corps source de celui-ci (puisque l’énergie change). La loi fondamentale de la dynamique en découle. Masse gravitationnelle et masse inertielle sont indubitablement identiques.

Puis est venue l’idée que l’ajustement du champ gravitationnel se fait par un aller-retour permanent d’énergie, transportée par des ondes gravitationnelles (d’un type différent de celles de la relativité générale). Dans le référentiel où le corps source du champ est fixe, ces ondes créent une onde stationnaire.

Surprise ! (pas vraiment en fait). Dans un référentiel où une particule est en mouvement, l’onde associée au champ gravitationnel de la particule présente les caractéristiques de l’onde-pilote de Louis De Broglie. Le mouvement d’une particule pourrait donc être entièrement commandé par le champ gravitationnel qui lui est associé.

Qui plus est, il s’agit là d’une porte ouverte vers la Mécanique quantique: l’onde (qui est une onde physique bien réelle) vérifie une équation proche de l’équation de Schrödinger, basée sur l’énergie totale de la particule.

Autres conséquences possibles concernant l'énigme de la matière noire et la discordance entre les vitesses d'expansion de l'univers primordial et de l'univers actuel.

Mai 2020

Un autre phénomène de base de la Mécanique quantique est celui d'intrication.​

Peut-on en donner une explication classique?

C'est ce que je propose pour la polarisation des photons.

 

Février 2023

La démarche adoptée pour le champ gravitationnel peut être transposée au champ électrostatique. 

L'analyse de la désintégration du neutron libre permet de dériver la création du champ électrostatique du champ gravitationnel associé au proton et à l'électron.

17/12/2022   Une autre approche de la relativité

 

La théorie de la relativité restreinte et la théorie de la relativité générale font appel à des déformations de l'espace-temps pour expliquer des phénomènes physiques tels que le décalage des horloges en mouvement ou soumises à des actions gravitationnelles différentes.

La présente étude montre qu'il est possible de bâtir une théorie alternative, n'impliquant pas de déformations de l'espace et du temps, si l'on accepte de reconsidérer le principe d'invariance de la masse au repos.

Sa lecture ne nécessite pas de connaissances mathématiques approfondies, mais l'assimilation des concepts de base de la relativité restreinte et de la relativité générale. On suppose également connues les principales vérifications expérimentales de ces théories.

L'étude propose notamment des lois  décrivant la gravitation en champ faible, qui ne nécessitent pas d'avoir recours à une courbure de l'espace-temps. Elle montre que ces lois permettent d'expliquer correctement les phénomènes physiques servant de test à la relativité générale: décalage du périhélie de Mercure, courbure des rayons lumineux, décalage spectral gravitationnel (expérience de Pound et Rebka), effet Shapiro.

 

 08/12/2023    Champ  gravitationnel, Principe fondamental de la dynamique

                          et Mécanique quantique

 

Le premier chapitre présente un modèle de champ gravitationnel cohérent avec les lois de la gravitation de l'étude précédente. 

 

Le champ a une réalité physique. L'interaction gravitationnelle consiste en un échange d'énergie entre les sources et le champ global créé par ces sources. Un mécanisme de rafraîchissement du champ adapte en permanence ce dernier aux variations d'énergie de sa source.

Le deuxième chapitre  de cette étude vise à répondre à la question suivante : peut-on déduire le principe fondamental de la dynamique des propriétés attribuées au champ gravitationnel ?

On apporte une réponse positive en liant la variation de vitesse à la variation du champ gravitationnel.

 

Le troisième chapitre cherche à rattacher le concept de dualité onde-particule de la Mécanique quantique au concept de champ gravitationnel.

L’idée est que l'onde gravitationnelle, qui assure l’ajustement du champ, a des caractéristiques qui lui permettent de  jouer le rôle d’onde pilote (telle qu’introduite par la théorie de De Broglie et Bohm) et d’expliquer ainsi le comportement ondulatoire de la particule.

18/01/2024   Champ électrostatique. Liaison avec le champ gravitationnel

 

La démarche adoptée pour  le champ gravitationnel peut être transposée au champ électrostatique :  l'interaction électrostatique résulte d'un échange d'énergie entre les particules chargées et le champ global qu'elles créent.

L'analyse de la désintégration du neutron libre permet de dériver la création du champ électrostatique du champ gravitationnel associé au proton et à l'électron.  L'énergie finale de l'électron résulte de la perte d'énergie qu'il subit en s'éloignant dans le champ  électrostatique.

Les paramètres du champ (énergie et rayon limite d'action) sont caractérisés par leur produit qui est constant et se rattache à la constante de structure fine.

29/06/2021    Extension des lois de la gravitation

Trous noirs. Décalage spectral gravitationnel

 

La présente note répond aux questions suivantes :

  1. Comment étendre les lois de la gravitation en dehors des conditions de champ faible, dans le cadre desquelles elles ont été établies ?

  2. Quelles en sont les conséquences pour ce qui concerne les trous noirs ?

  3. Quelles en sont les conséquences pour ce qui concerne le décalage spectral d’une source gravitationnelle ?

 

 

 

 

 

09/05/2020    Polarisation et intrication des photons

Dans la présente note, nous montrons qu’une nouvelle approche de la notion de polarisation des photons permet de retrouver les résultats de base de la Mécanique quantique en matière d'intrication.

La probabilisation des résultats ne traduit pas une indétermination fondamentale inhérente au photon, mais vient de la prise en compte d’un modèle de polarisation qui introduit une dispersion autour d’une direction principale.

Bien que cette approche ne puisse pas être qualifiée de non locale, elle permet de retrouver les résultats des expériences menées sur des photons intriqués.  Nous expliquons pourquoi il n’y a pas contradiction avec le théorème de Bell.

12/01/2020    Conséquences cosmologiques

 

La discordance entre les mesures de vitesses d'expansion de l'univers primordial et de l'univers actuel est-elle explicable?

C'est possible: pour un décalage spectral donné, la vitesse de récession donnée par notre théorie est inférieure à celle de la relativité restreinte.

 

Doit-on réhabiliter les neutrinos comme candidats à la réponse à l’énigme de la matière noire ?

 

En effet, dans la formulation des lois de la gravitation que nous proposons, ce n’est plus la masse des corps en présence qui intervient (comme dans la gravitation newtonienne) mais leur énergie.

 

23/04/2018      Retard des horloges atomiques

Dans la note du 22/12/2020, nous avons vu que  l’hypothèse de la conservation de l’énergie par changement de référentiel galiléen conduit à une absence de dilatation du temps entre référentiels. Le retard d’une  horloge atomique mise en mouvement par rapport à une horloge restée fixe ou déplacée dans un champ gravitationnel, constaté par les expériences, ne peut alors s’expliquer qu’en admettant que le niveau d’énergie influe sur le rythme de l’horloge.

Si T désigne la période d’une horloge au repos et T’ la période de cette même horloge mise en mouvement à la vitesse u, on a :

                                                  T’/T = E’0/E0 = ϒ =1/(1- u2/c2)1/2  

  

Nous montrons que l’on peut expliquer ce résultat par un raisonnement simple.


 

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